Sommes-nous dans une Bulle ?
Sommes-nous dans une Bulle ?
Chers investisseurs,
C'est Sven, après quelques semaines de pause pour fêter les 5 ans de la Méthode Trident, je suis ravi de vous retrouver pour ce nouveau T-News ;)
🫧 1. Sommes-nous dans une bulle ?
Voici l'évolution du cours du S&P 500 (les 500 plus grandes entreprises américaines) sur les 5 dernières années :

Depuis 2023, les indices boursiers s’envolent, tirés par la vague de l’IA et les "Magnificent 7" (Apple, Microsoft, Google, Amazon, Meta, Nvidia, Tesla).
Alors que Nvidia frôle les 5 000 Md$ de capitalisation et que les investissements en IA explosent, une question s’impose :
“Ne sommes-nous pas en train de revivre la bulle Internet de 2000 ?”
À la fin des années 1990, les investisseurs se ruaient sur tout ce qui touchait à Internet.
Des entreprises sans chiffre d’affaires, comme Pets.com ou Webvan, affichaient des valorisations de plusieurs milliards, simplement parce qu’elles promettaient de "révolutionner le web".
Quand la réalité a fini par rattraper les promesses, le Nasdaq s’est effondré de près de 80 %, et il a fallu 15 ans pour qu’il retrouve son niveau d’avant-crise.

25 ans plus tard, l’histoire semble se répéter.
L’IA est le nouveau ".com".
Et cette fois encore, le marché semble déjà avoir choisi ses grands gagnants.
Les Magnificent 7 — Apple, Microsoft, Google, Amazon, Meta, Nvidia et Tesla — représentent aujourd’hui 37 % du S&P 500
et ont généré plus de la moitié des gains de l’indice sur les deux dernières années.
Un niveau de concentration jamais vu dans l’histoire.
Ils se livrent désormais à une véritable guerre de l’IA avec des investissements records :

Investissements en 2025 (CapEx) :
Amazon investit 125 Md $ pour renforcer son infrastructure cloud et logistique.
Alphabet (Google) consacre 92 Md $ pour accélérer sa reconstruction d’Internet via l’IA.
Microsoft dépense 88 Md $ dans ses centres de données et l’IA générative.
Meta injecte 71 Md $ pour soutenir le metaverse et l’IA.
Au total, les 7 Magnifiques ont investi plus de 330 milliards de dollars cette année — soit plus que le PIB du Portugal.
Cette course soutient l’économie mondiale mais rend aussi le marché plus fragile : si ces quelques entreprises ralentissent, c’est tout l’indice qui chute.
Et si vous détenez un ETF S&P 500, vous êtes déjà exposé à ce pari : le marché entier repose aujourd’hui sur la réussite de ces 7 titans.
Alors, est-ce une bulle ?
Pas exactement.
Oui, il y a de l’emballement. Mais non, la situation n’est pas celle de 2000.
Voici les différences majeures :
💰 Des profits réels, pas des promesses.
En 2000, beaucoup d’entreprises ne gagnaient pas un centime.
Aujourd’hui, les leaders IA affichent des bénéfices records et des marges élevées.✅ Une utilité immédiate.
L’IA génère déjà de la valeur : +25 à 55 % de productivité pour les développeurs, –30 à 40 % de coûts en moins pour le support client.📉 Une pénurie, pas une surcapacité.
En 2000, les télécoms avaient enterré des kilomètres de fibre inutilisée.
En 2025, chaque puce Nvidia H100 produite est vendue avant même d’être fabriquée.📈 Des valorisations élevées, mais adossées à des bénéfices.
Cisco valait 200× ses profits en 2000.
Aujourd’hui, Nvidia se paie 50–60× ses profits — et son chiffre d’affaires suit la même courbe.⚡ Une adoption éclair.
ChatGPT a atteint 100 millions d’utilisateurs plus vite que toute autre technologie — et les garde car elle leur fait gagner du temps et de l’argent.💵 Des modèles déjà rentables.
Les infrastructures (cloud, puces, logiciels B2B) génèrent des milliards de free cash flow positif.
Les investissements viennent des bénéfices d’entreprises rentables, pas de fonds spéculatifs.
Grâce à ce visuel, on voit que la situation est totalement différente :

En 2000, les leaders technologiques (Cisco, Intel, Oracle...) affichaient un PER moyen de 52 pour une marge nette de 16 %.
Pour rappel le PER (Price-to-Earnings Ratio) mesure le prix payé par rapport aux bénéfices de l'entreprise.
Un PER de 52 signifie qu’un investisseur paie 52x les bénéfices annuels de la société.
Aujourd’hui, les 7 Magnifiques (Microsoft, Apple, Nvidia, Amazon, Alphabet, Meta, Tesla) ont un PER bien plus raisonnable — 24 en moyenne — pour une marge deux fois plus élevée (28 %).
Les valorisations sont élevées, mais cette fois-ci, les bénéfices sont bel et bien réels.
D’ailleurs, sur les 5 dernières années, quatre des "Magnificent 7" ont vu leur PER baisser :
Nvidia : de 58 à 44
Google (Alphabet) : de 33 à 26
Amazon : de 88 à 37
Meta : de 28 à 22
Ce qui montre que la croissance des bénéfices a été plus rapide que l'augmentation du cours de l'action.
⚖️ 2. ETF vs Stock Picking : lequel choisir lorsque le marché est cher ?
En 1998, beaucoup d’investisseurs pensaient qu’acheter “le marché” via un ETF Nasdaq était la solution la plus sûre.
Pourtant, le résultat a été catastrophique.
Entre 2000 et 2013, le Nasdaq a stagné alors que les actions individuelles les plus solides — comme Microsoft, Apple ou Amazon — ont continué de croître.
En tant qu'investisseur, vous avez donc 2 choix :
Le stock picking permet de choisir où va votre argent,
Tandis qu’un ETF vous expose à toutes les erreurs du marché, au même titre que ses réussites.
Quand une bulle éclate, les mauvaises entreprises pèsent lourdement sur la performance globale de l’indice.
Et c’est exactement ce qu’on voit aujourd’hui :
Palantir est désormais dans le Top 20 du S&P 500, avec un PER de 273 — un niveau rarement atteint dans l’histoire récente pour une entreprise de cette taille.

Assez impressionnant de voir à quel point la courbe du prix (en noir) se décolle de la courbe des bénéfices (en vert).
À ce stade, le marché ne paie plus la croissance actuelle, mais des décennies de croissance future déjà anticipées.
C’est là que le stock picking fait toute la différence :
il permet d’éviter les excès, de sélectionner uniquement les entreprises où la croissance est réelle, et de traverser les cycles sans subir les valorisations irrationnelles du marché.
💬 Et vous ?
Est-ce que vous pensez que nous sommes actuellement dans une bulle ? Et est-ce que vous privilégiez le stock picking ou l'achat d'ETFs ?
Je suis curieux de lire vos retours en réponse à ce mail 😉
PS : Dans la Méthode Trident, l’objectif est simple : sélectionner uniquement les meilleures actions des ETFs — celles qui allient croissance durable, rentabilité élevée et valorisation raisonnable.
Les ETFs comme le S&P 500 contiennent d’excellentes entreprises mais aussi des sociétés aux valorisations parfois délirantes.
En plus de Palantir, on peut citer Tesla affiche aujourd’hui un PER de 275.
Et pourtant, elle représente la 8ᵉ plus grosse position d’un ETF S&P 500.

Dans la Méthode Trident, nous évitons ce type d’excès :
nos filtres de valorisation éliminent automatiquement les entreprises trop chères, même si elles sont médiatisées ou à la mode.
Résultat : vous profitez des meilleures entreprises du monde,
sans subir les bulles, tout en continuant à battre le marché sur le long terme.
Rejoignez dès maintenant la Méthode Trident afin d'accéder à ces 8 avantages :
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